Tanuki san (Réimpression)

TANUKI SAN
(Réimpression)
Avec ce petit bonhomme on arrive à la fin de cette série de réimpressions.

Linogravure imprimée à la main au baren (outil d’impression japonais) sur papier washi awagami (papier japonais traditionnel).
Disponible sur Etsy.

Le tanuki est, dans la mythologie japonaise, un des yōkai (esprits) de la forêt, inspiré du chien viverrin, une sous-espèce de canidés ressemblant au raton laveur et également parfois confondu avec le blaireau, auquel les Japonais attribuent des pouvoirs magiques. Maître des déguisements, il est réputé pouvoir changer de forme à volonté. Les tanuki sont souvent représentés portant un chapeau de paille et une gourde de saké, avec un ventre rebondi qu’ils utilisent comme un tambour et des testicules de grande taille, ce qui donna naissance à des dessins et des légendes humoristiques.
(Source : Wikipedia)

#thisisnotarock

Namahage (Réimpression)


(2ème tirage)
Linogravure imprimée à la main au baren (outil d’impression japonais) sur papier washi awagami (papier japonais traditionnel).
Disponible sur Etsy.

Namahage (生剥) est un rituel japonais actuellement pratiqué lors du nouvel an dans la péninsule d’Oga proche d’Akita, une préfecture de la région du Tōhoku, située dans la nord de l’île principale du Japon, Honshu.
Son aspect le plus connu est la visite qu’effectuent de jeunes gens déguisés en démons — les onis — parmi les habitants. Après avoir menacé d’emporter les enfants désobéissants ou paresseux, provoquant la terreur des plus jeunes, ils repartent apaisés par les dénégations des parents et des offrandes de repas. Leur visite, rattachée à la légende des toshigami, ou visite des dieux pour la nouvelle année, est considérée comme une source de bénédiction.
(Source : Wikipedia)

Koinobori (Réimpression)

Koinobori
(2ème tirage)
Linogravure imprimée à la main au baren (outil d’impression japonais) sur papier washi awagami (papier japonais traditionnel).
Disponible sur Etsy.

Les Koinobori (鯉幟), signifiant « banderole de carpe » en japonais, sont des manches à air en forme de carpe koï hissées au Japon pour célébrer Tango no sekku (端午の節句), évènement traditionnel qui est désormais une fête nationale, le Kodomo no hi (jour des enfants).
Selon une légende chinoise, les carpes du fleuve Jaune, après avoir remonté le fleuve, s’envoleraient vers le ciel en se transformant en dragons. Cette légende serait à l’origine des koi nobori, qui représentent plus généralement la force et la persévérance des carpes qui remontent à contre-courant les rivières et cascades.
(Source : Wikipedia)

I want to be alone


I WANT TO BE ALONE
Linogravure réalisée pour l’exposition « Résonances #2 », imprimée au baren (outil d’impression manuel japonais) sur papier washi Awagami, à l’encre à taille douce.
Disponible sur Etsy.

Dialogue (I want to be alone) est un morceau de Jackson C. Franck sur l’album qui porte son nom (1965, Columbia EMI).
« Life is hard then we die », un proverbe qui colle comme un gant à Jackson C. Frank.
C’est mon compère Adrien Demont, avec qui je fais les concerts dessinés sous le nom de @taketdemont , qui m’a fait découvrir ce morceau. De nuit sur une route peu éclairée en rentrant d’un concert à la Librairie Ombres Blanches à Toulouse (coucou Mathilde), le moment était parfait pour mettre en valeur la solitude de ce morceau.
La vie de ce chanteur est une longue tragédie, brûlé à l’âge de 11 ans dans un incendie dans son école où périra une grande partie de ses camarades de classe, dépression, timidité maladive qui finit par l’empêcher de se produire en concert, créativité qui le fuit, décès de son fils, problèmes psychiatriques et fin de vie encore plus triste. De ce chaos est née sa musique, belle, pénétrante et sincère.
Il n’a pas composé énormément de chansons, du coup écoutez tout ! Enormément d’artistes ont repris ses morceaux, il est possible que vous en connaissiez certains.
« Le plus connu des musiciens folk sixties dont personne n’aie jamais entendu parler. »

Hannya (Réimpression)

Hannya // 般若
(2ème tirage)
Linogravure imprimée à la main au baren (outil d’impression japonais) sur papier washi awagami (papier japonais traditionnel).
Disponible sur Etsy.

C’est, dans les légendes fantastiques du Japon, le fantôme d’une femme revenue sur terre pour assouvir sa vengeance.
Les démons Hannya sont très présents dans le théâtre nô où on trouve les masques hannya dans les pièces Aoi no Ue et Dojo-ji. Dans Aoi no Ue, la jalouse Rokujô est vaincue par la récitation du sûtra de Hannya qui était recommandé pour exorciser les femmes-démons.

Eclats (Réimpression)


Eclats
(2ème tirage)

Linogravure imprimée à la main au baren (outil d’impression japonais) sur papier washi awagami (papier japonais traditionnel).
Disponible sur Etsy.

Inspiré d’un haiku d’Ueda Chôshû (1852-1932)

Fût-ce en mille éclats
Elle est toujours là
La lune dans l’eau

Sappy

SAPPY
Linogravure réalisée pour l’exposition « Résonances #2 », imprimée au baren (outil d’impression manuel japonais) sur papier washi Awagami, à l’encre à taille douce.
Disponible sur Etsy.

Nirvana est un des groupes que j’ai le plus écouté, farfouillant chez les disquaires pour dénicher les CD de concerts pirates ou les nombreuses compilations non officielles. J’étais juste un poil trop jeune pour les voir en concert. Même si je les écoute beaucoup moins aujourd’hui ça a été un des groupes les plus importants dans la bande-son de ma vie.
Sappy n’est sur aucun album, elle se trouvait à l’époque en chanson cachée sur la compilation « No Alternative », au profit de la recherche sur le sida, et sur tout un tas de CD pirates sous le nom de Verse Chorus Verse. J’ai toujours pensé que ce titre était juste une contraction des mots « sad » et « happy » et j’ai jamais vraiment compris ou cherché à comprendre les paroles. Il s’avère que Sappy était le nom de la tortue de Cobain et que ce morceau parle d’elle. Voilà.
Ça reste un de mes morceaux préférés de Nirvana.

Translate »